Avec déjà plusieurs vestes en Primaloft ou en polaire achetées en vue des conditions extrêmes attendues sur The Spine, le style n’avait pas trop fait partie du cahier des charges et je ne pouvais pas trop passer inaperçu avec mes vestes en ville. Donc il me manquait une veste avec laquelle je pourrais sortir le soir et le week end.
Raison de mon achat de la Millet Dry Microloft
- Jolie couleur
- Design style doudoune avec des cloisonnement de forme carrée.
- Élastiques non réglables à la taille et aux poignets.
- Col qui remonte assez haut.
- Poches avant zippées bien profondes mais qui ne remontent pas vers le haut comme celle de ma polaire Millet Roc High Loft Jacket.
- La poche avant gauche peut servir de pochette de rangement (système genre KWay). Il y a une petite sangle avec les mots STOW POCKET (poche de rangement) pour permettre de refermer le sac d’environ 30 centimètres de longueur
Ce qui est regrettable.
- Pas de poche poitrine pour mettre des papiers. Ça, si je m’en étais rendu compte dans le magasin, ça aurait peut être suspendu mon achat car c’est d’une veste pour le week end dont j’avais besoin.
- Pas de capuche. Une version à capuche existe.
Comparatif entre différentes vestes polaires
Comme je commence à avoir une belle collection de vestes pour le sport et le trail, voici une petite mise en perspective des poids (contrôlés sur ma balance de cuisine) de ces différentes vestes.
- Millet Dry Microloft : 370 grammes en taille L. Moins que les 390 annoncés.
- Salomon Minim en Primaloft : 350 grammes
- Veste polaire finisher Origole : 500 grammes
- Millet Polartec High Loft avec capuche : 480 grammes.
- Atomic Primaloft avec capuche : 410 grammes
- Salomon polaire « gaufrée » rose : 416 grammes
- Adidas Terrex : 573 grammes
- Mountain Hardwear sans manche ni capuche Polartec finisseur TDS : 285 grammes
Annexe et brouillon de notes sur cette veste
Dry Microloft
Eco Fiber Dupont Sorona
http://www.isentiaconnect.com.hk/companyview.asp?id=31247